SUBSTANCE DE LA GEOMETRIE GENERATIVE

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La réalisation de ma thèse de doctorat sur la tradition géométrique dans l'art occidental et de structures modulaires, laissé une profonde impression sur moi quand la pensée et les processus esthétiques fonctionner. Ce fait a conduit même sur une méthodologie que je définis comme la géométrie générative qui peut être suivie dans certains des documents-présentations de plus de loi rationaliste catalogue Deli et projets, Fleurs dans le désert, Sapientis est ordinare et cubes et ont finalement été incarnée dans une sculpture de l'environnement, l'arbre à partir de vents.


- L'espace-temps est la quatrième dimension et est généré dans l'espace à quatre dimensions de tout ce que nous savons, les idées et les fonctions cérébrales. L'univers a cette condition.
- L'espace-temps est la résidence du chaos, les contradictions, ou que la lame ne peut pas se couper.
- Son est une génératrice et le silence à la même fonction du temps.
- La géométrie générative incubés dans l'espace-temps, dans l'être subjective, même en privé.
- Dans la géométrie de l'espace-temps, cette géométrie est seulement potentiel, est la géométrie à naître.
- De toute façon, la géométrie générative est elle-même l'expression, l'expression est la géométrie.
- Le générateur de géométrie manifeste dans trois processus de niveaux. Une première, pré-théorique dans l'espace-temps, une expression théorique primaire, secondaire et de l'objet, et enfin, un niveau supérieur de socialisation et aussi de l'interaction avec l'environnement. Qui regarde génère également le travail.
- Le processus retourne à niveau à partir du niveau de la socialisation dans la visionneuse para-théorique, tandis que l'objet dégénère en un tournemain.
- La géométrie générative peut rester et ne pas se manifester, réduisant au silence l'expression, qui se manifeste dans un niveau mental et pré-théorique, sinon il devient expression et entre dans le champ de l'objectivation formelle et esthétique.
- L'essence de la géométrie générative est le processus d'objectivation des impulsions subjectives, rationalisées à travers des formes, des éléments, des normes, des catalogues et des structures à la recherche de configurations cohérentes, et expressifs socialitzables.
- La géométrie générative productive si elle est la seule en charge de créer les conditions optimales de production et de reproduction informés de la manière, cotées ou non, combinée ordonnée ou aléatoire, à être appliqué après-situé sur objets expressifs dans un environnement précis et concret .
- Espace-papier, comme d'autres domaines, est l'endroit où l'expression primaire a lieu, cependant, et à un autre niveau, il devient projection et claire de cette spatio-temporelle synonymes et, alors, où cet être nous devient nous Ombre d'expression et d'espace temporel pourtant proche.
- Forcément, agissant rôle dans l'espace suppose pas écarté les aspects transcendants de la géométrie générative.
- La base est la géométrie formelle générative rationalisation.
- Lieux et objets géométriques générés dans cet espace rôle symbolique en tant que formes expressives.
- Au-delà d'autres considérations, formes, simple car ils sont, ont un contenu de charge et la signification.
- Les formes, sont au hasard pour la soumission à des règles sélectionnées, aussi auto-imposé librement défini.
- Sur une fraction de la grille spatio-papier sont développés chacun des éléments possibles d'un catalogue.
- Un catalogue a reproduit les différents éléments qui ont été développés pour la transformation et la symétrie règles.
- Un catalogue est ordonné, ou une description, un numéro de série d'éléments (fermé), ou un groupe indéterminé d'éléments (ouvert).
- Nature est toujours ouvert et complexe, il appartient à un univers fractal espace-temps qui contient notre propre perception.
- Un catalogue est l'ensemble de tous et chacun des éléments formels que nous appelons modules, générés à partir d'une des grilles, constitue une base, générant règles combinatoires, les itinéraires et toutes autres conditions.
- Le module est chacun des éléments d'un catalogue.
- Les catalogues peuvent être définis par des modules à une 2D ou 3D niveau.
- Les configurations des groupes de modules peuvent devenir catalogues de niveau supérieur contenant supermòduls plus complexe et ainsi de suite.
- Les itinéraires des formes dans la grille de chaque module d'un catalogue peuvent être également normativizados.
- Un catalogue passant espace-papier plan esthétique objetual, rouvert en raison de sa combinaison avec d'autres éléments impliqués ainsi, le catalogue est soumis à de nouvelles considérations et de nouveaux déterminants, comme dans le processus d'insertion objet dans l'environnement.
- Le développement d'un catalogue dépend de votre grille, règles formelles et complexes sont basés sur ces éléments.
- Les grilles peuvent être de toute forme qui nous permet tesel·lació espace ou, à l'inverse, pas d'autres formes fermées espace permettra à ce tesel·lació.
- Les éléments formels, peuvent être fondamentalement lignes droites ou courbes distribués au sein des contours polygonaux qui définissent la grille. Il ne serait pas mal de dire que peut impliquer d'autres types d'articles.
- Les lignes droites et courbes, en combinaison et la proportion dans le cadre du réseau d'un ensemble d'éléments modulaires, sont chargés de donner du caractère à eux.
- Les règles pour la mise en configurations peuvent affecter les réseaux loci, les changements dans les zones de couleur, etc.
- Les formes simples sont à la charge plus expressif et une meilleure efficacité dans l'expansion d'un message.
- Le message appartient au monde de l'esthétique et de l'expression, cela est, à la fois, à quatre dimensions d'espace-temps.
- Les éléments d'un catalogue sont formés par des particules ou des éléments formels minimales du langage visuel. Le point, ligne, contour, direction, la taille, le clair-obscur, la texture, l'échelle et le mouvement.
- L'introduction d'éléments métrique d'un valeurs de catalogue est après la définition de ceux-ci et, suppose d'entrée de gamme définition exogène de forme expressive, dans un environnement où les éléments et les particules génèrent l'entité-objet. Le point de départ, les premiers éléments du langage visuel dans l'action.
L'expression de point de départ dit tout. Le point est le début. Ce point de départ que nous voulons, ainsi que signe de départ de référence interprétées comme une unité. Pourquoi nous parlons d'unité ?. Eh bien simple, si nous tirons un point avec un stylo sur une surface, ce petit signal que nous avons appelé point de temps de traitement, mais si vous regardez à travers un microscope allons semblent l'immensité d'un continent. Il est de ce fait qui nous permet d'identifier le point avec l'unité, en sautant la relativité de la perception. Cela nous permet d'identifier le point comme une unité et entité formelle donnée. Le point a du caractère, qui dépend de l'élément qui a attiré. Tout au long de l'histoire des nombres, à l'origine, le premier numéro, l'un (1), ce qui représente une unité, d'abord commencé à partir d'une idée profondément enracinée et se sont installés dans l'esprit des premiers humains, également représentée I, la subjectivité et de la solitude absolue dans le monde, un monde, les chiffres, vous voudrais découvrir un catalogue ouvert et donc des éléments infinis. Le point est identifié avec l'unité. Un point et sont liés.
Si ce point est mis en action dire que décrit une ligne, la ligne est maintenant un élément plus complexe dans le conglomérat des éléments du langage visuel. Sans aller plus loin, deux ou plusieurs points définissent une ligne, nous pouvons compléter le spectateur. Human entre les points, nous sommes en mesure, grâce à notre imagination, à voir les contours qui suggèrent des images et des différentes figures. Deux points créent une tension suffisante, en fonction de la proximité de celles-ci, de proposer une ligne définie que celle de la géométrie, segment d'appel. La complexité de la ligne par rapport au point, est dérivé de son personnage est pas unitaire tel qu'il est défini par plusieurs facteurs, leur caractère, leurs gestes, leur directivité ou la géométrie. La ligne peut être identifié par rapport aux nombres de deux (2), revenir à l'histoire des nombres, nos premiers ancêtres les deux identifié avec vous, l'autre, qui est devant vous, lisez la ' un (1). Lignes, si nous comme théoriquement infinie (espace-temps) comprenons, l'appel abusif. Au moment où nous avons quitté cet espace-temps, les lignes deviennent propre.
La ligne de contour fermé lui-même devient excédentaire. La somme des lignes données complexité suffisante pour cet élément de langage visuel pour permettre de définir les formes, qui ne sont que des unités complexes avec une capacité ci-dessus suggèrent, identifier et contenir. Sa complexité peut être liée au nombre de trois (3) avec eux. Historiquement ?? ancêtres ont donné à trois (3) la valeur des autres, ceux qui sont extérieurs au couple et nous pouvons vérifier à travers les résidus laissés dans la langue. Les mots de troupes troupe, troupe, Trupp, dérivé de trois phonétique française et trois de masse jolie (troupe, trope) ressemblent. Géométriquement, le contour se réfère plus simplement et avec précision le nombre 3 est le triangle, dont la plus monotone, efficace et théorisé, le triangle équilatéral. Au-delà des trois est l'infini, rappelez-vous que les côtés ou des points de polygone infinies sur le cercle.
Après les trois premiers chiffres initiaux, ce qui suit peut se rapporter à des polygones à partir avec contour secondaire de l'immobilier, qui compte parmi ses qualités que d'être celui qui représente le mieux la rationalité, carré.
Vient d'être défini, mais les trois contours de base, dont le respect de la zone ont des caractéristiques différentes lorsque l'espace de la capacité de tesselles.
Le triangle (équilatéral) espace de tuiles et contient, au cas où le soutien d'une part, deux lignes principales, l'horizontale (le reste) et inclinée à 60 (deux lignes), représentant le déséquilibre de tension et dynamisme, etc. En soutenant le sommet de triangle sur l'équilibre, nous aurons types de lignes I définis ci-dessus, dans le cas où le triangle est pris en charge sur le sommet dans toutes les positions sans solde aura l'ensemble des lignes obliques. Le triangle a, à l'exception de trois côtés, trois axes de symétrie axiale.
Le cercle devient une forme où leur multi-symétrie conduit à un équilibre dynamique, eh bien, ce qui nous ramène à l'unité, dans ce cas, une unité supérieure qui manifeste l'éternel retour, l'espace-temps cyclique, le éternité. Le cercle ne peut pas paver l'espace, il est plus individualiste contour des trois contours de base. Leur est une symétrie centrale.
Le carré contient les deux directions de l'espace identifié comme essentiel dans le cas de la place est prise en charge sur un côté. D'une part, nous nous reposons horizontalement, la matière, l'horizon, la base et l'origine des hauteurs. En outre, la place contient la direction verticale, le royaume de l'équilibre, Plumb, la direction que je accepté de définir comme spirituelle. Si la place est prise en charge uniquement à un sommet de l'air carré obtient une figure dynamique et aussi instable. Quoi qu'il en soit, le carré représente la force d'égalisation entre les quatre côtés. Il est un contour jusqu'à l'espace de tuiles à occuper formations d'éléments de surface. Le carré est finalement le contour de la rationalisation de l'espace utilitaire. Egypte de transférer leurs dessins, l'espace réticulaire, carré. Graphistes utilisent variable ou grilles fixes dans leurs programmes informatiques, qui sont basés sur deux directions de base, horizontales et verticales, quand il vient à réaliser leurs projets.
Triangle, cercle et pictogrammes carrés plupart des médias sont dérivées.
Transformations formelles.
La génération de formulaires peut être effectuée de manière rationnelle en utilisant différentes opérations géométriques à la fois dans le plan ou dans l'espace.

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